DE NOUVEAUX ADHÉRENTS À L’UTB
Après la rediffusion (mais on ne s’en lasse pas) du Seul contre Six de Jose TOMAS à Nîmes en 2012, tous se retrouvaient autour d’un délicieux buffet.
* Il s’agit donc de la restauration d’une tête de taureau de l’élevage du Duque de Veragua estoqué à Nîmes par le torero mexicain Luis Fregdans les années 20. Cette ganaderia prestigieuse de la fin du XIXème siècle n’existe plus. Elle a été vendue en 1927 à Don Juan Pedro Domecq.
Les têtes de taureaux de Veragua étant devenues très rares, il nous paraît indispensable de restaurer cette pièce, actuellement stockée dans les réserves de la Caserne St-Jacques afin de pouvoir l’exposer dans le Musée.
La Ville de Béziers a bien voulu participer à hauteur de la moitié du devis établi par le taxidermiste Jean-François Hugues d’un montant de 1 700 €. Afin de parvenir à la somme totale, nous sollicitons votre participation à titre personnel, sans bien sûr aucune obligation. Le solde sera versé par l’UTB.
Merci par avance de votre générosité afin que cette tête de taureau trouve une place de choix dans notre Musée.
– jeudi 9 octobre : Toros de Victorino Martín, Alcurrucén, Fuente Ymbro, Puerto de San Lorenzo, Victoriano del Río et Antonio Bañuelos pour Daniel Luque.
– samedi 11 octobre : Toros de Juan Pedro Domecq pour Enrique Ponce, Finito de Córdoba et Alejandro Talavante.
- Vendredi 3 octobre : Toros de Núñez del Cuvillo pour Finito de Córdoba, Iván Fandiño et Daniel Luque.
- Samedi 4 octobre : Toros de Puerto de San Lorenzo pour Miguel Abellán, como único espada.
- Dimanche 5 octobre : Toros d’Adolfo Martín pour Uceda Leal, Diego Urdiales et Serafín Marín.
TOMAS CERQUEIRA REÇU PAR L’UTB ET L’AFICION BITERROISE
Vendredi 5 septembre, l’Union Taurine Biterroise recevait avec toute l’Aficion locale le matador Biterrois Tomas Cerqueira, cela en présence notamment des maires de Boujan sur Libron et Béziers ainsi que celle de son ami le matador Cayetano Ortiz.
La raison principale de cette réception étant la 1ere corrida organisée à Boujan lors de la 1ere Feria dite des Vendanges, corrida qui verra Tomas seul contre 4 toros de la ganaderia Gallon. Michel Bousquet président de l’UTB, tout en félicitant et remerciant Gérard Abella, maire de Boujan, pour cette première, en profitait pour annoncer que le Musée taurin de Béziers avait durant ses deux mois d’ouverture (juillet et août), battu avec plus de 2 500 visiteurs, tous les musées de Béziers. C’était là l’occasion de remercier tous ceux qui ont œuvré à ce résultat.
Puis le maire de Boujan après avoir expliqué sa politique en matière tauromachique : tradition à conserver, développement, tauromachie pour tous, appelait les aficionados à venir nombreux le 7 septembre. Rejoint par le maire de Béziers, Robert Ménard, il demandait aux aficionados de ne pas répondre aux provocations des anti-taurins pouvant être venus dans sa ville pour troubler l’ordre public en laissant aux forces de l’ordre le soin d’assurer la sécurité et la tranquillité de tous. Il ne restait plus qu’au Matador Tomas Cerqueira de remercier l’assistance en lui assurant qu’il ferait tout pour la satisfaction des aficionados présents dimanche.
CORRIDAS à ALBACETE et à GUADALAJARA
Canal+ Toros retransmet les corridas des plazas de toros d’Albacete et de Guadalajara. L’UTB sera donc ouverte suivant le calendrier suivant : Paseo à 18 h.
ALBACETE
– MERCREDI 10 SEPTEMBRE : Toros de Alcurrucén pour Miguel Abellán, Daniel Luque et Juan del Álamo,
– JEUDI 11 SEPTEMBRE : Toros de Fuente Ymbro pour Finito de Córdoba, Miguel Ángel Perera et Alejandro Talavante.
GUADALAJARA
– VENDREDI 12 SEPTEMBRE : Toros de Jandilla pour Iván Fandiño.
BÉZIERS – MARDI 12 AOÛT – DEUX ÉVÉNEMENTS
Dans le cadre de la Feria de Béziers, deux évènements se sont déroulés au sein de notre Musée Taurin, le mardi 12 août 2014 .
Tout d’abord, en présence de nombreuses personnes dont le maire de Béziers et de membres des clubs taurins, la soirée débutait par le vernissage de l’exposition de Fernando NOGUÉS GUIZY, artiste photographe espagnol, exposition yue durant tous les jours de la Feria par de nombreux visiteurs. Ce passionné de tauromachie et de son image, n’est pas inconnu à Béziers puisqu’il fut lauréat du Concours International « La tauromachie dans les arts plastiques » lors de la Feria de Béziers 1983.
Puis ce fût un moment d’émotion avec le dévoilement d’une plaque, au sein du Musée Taurin, en mémoire de Michel ROUZIER, un des piliers de l’Union Taurine Biterroise, disparu en juin 2013, et qui a grandement œuvré à l’avènement de cet espace muséographique. Michel Bousquet, président de l’UTB, lui rendait hommage en quelques mots. Puis Francis Andreu, ainsi qu’un ami proche de Michel, André Noy rappelait la place qu’avait occupé celui-ci dans la vie culturelle et sportive de Béziers. Il appartenait au maire de Béziers, Robert Ménard et à Jacques Rouzier frère de Michel de clôturer cet hommage ; très émue, l’épouse de Michel, Marie Françoise remercia l’assistance pour sa présence.
FERNANDO NOGUÉS – PORTRAIT BIOGRAPHIQUE
Au début de l’année 1983, Fernando Nogués Guizy (Barcelone, 1945) fait la connaissance par hasard d’un personnage singulier : Federico Martínez García, fameux avocat patronal. Dès leur première rencontre, un chaleureux courant de sympathie surgit entre eux qui les mène à parler de leurs goûts réciproques : la sculpture et la tauromachie dans le cas de Federico ; la photographie pour Fernando. Federico demande a Fernando de lui faire des photos d’une série de sculptures taurines réalisées en bronze. Le résultat est spectaculaire et Federico en est enthousiasmé. Au point de proposer à Fernando de l’accompagner pendant les premiers mois de la saison taurine de 1983 pour photographier les corridas de toros, aussi bien à Barcelone que dans plusieurs arènes du Sud de la France, dans le but de présenter une série de photographies au prestigieux Salon de la Tauromachie dans les arts plastiques de la Ville de Béziers, que lui-même avait gagné l’année d’avant, avec ses merveilleuses sculptures.
C’est l’époque de la grande rivalité entre Paco Ojeda et Emilio Muñoz qui passionne en Espagne et encore plus en France où des centaines d’amateurs se déplacent chaque foi que se célèbre un mano a mano a Barcelone ou dans une autre arène espagnole.
Les photographies que Fernando obtient se révèlent de forte beauté et s’éloignent des canons classiques des photographies taurines. Loin de s’intéresser seulement aux anecdotes de chaque corrida – la plaza, el cartel, la ganadería – Fernando désire refléter l’essence du lidia : la noble et belle relation entre deux ennemis qui se respectent et, d’une certaine manière, s’estiment même puisque aucun des deux n’existerai sans l’autre.
La sensation d’un mouvement harmonieux, son chromatisme, la symbiose qu’expriment le taureau et le matador, font que chaque photographie produise une forte émotion.
Au déjà cité Salon de Béziers 1983 l’œuvre de Fernando Nogués a obtenu le troisième Prix, première récompense donné a un photographe.
Depuis cette date, la « TAUROMAQUIA » de Fernando Nogués est restée inédite, n’ayant été ni exposée ni imprimée.
Pour 2015 est programmée une exposition au Palais des Congrès de Ronda (Málaga) avec une série de 50 œuvres, dont fera partie cette série qui sera maintenant présentée à Béziers comme un hommage en remerciement à la Ville qui lui a concédé le prix en 1983.
Cette série « BÉZIERS 2014 » est formée par 10 œuvres numérotées d’un tirage contrôlé et signées par l’auteur. Seulement 15epreuves de chaque œuvre seront mises en vente.
EXPOSITION
Vendredi 3 juillet 2014, en présence de Robert Ménard maire de Béziers, de Benoit d’Abbadie adjoint à la Tauromachie et président de la commission taurine extra-municipale, d’Élisabeth Pissaro, adjointe-déléguée à la Culture, de Didier Bresson, du conservateur des musées ainsi que de nombreuses personnalités de l’Aficion et de la culture biterroise, le président de l’UTB Michel Bousquet présentait le travail de l’artiste.
Après quelques mots du maire chacun put admirer les photos de la « tienta à champ ouvert » ; puis autour d’un buffet-apéritif offert par l’UTB avec le concours de Pernod 51 et la photographe converser avec celle-ci…
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Marilyn Bousquet, diplômée en 1996 de l’École Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy, demeure – après un séjour à Bayonne où elle a exposé ses photographies dans plusieurs lieux du Pays Basque – à Béziers depuis quelques années.
En 2012, à Narbonne à la chapelle des Pénitents bleus, son exposition photographique « Narbonne impressive » était consacrée à l’architecture de cette cité. L’an passé au château de Vargoz de Sérignan son expo « Ethers » fût très appréciée du public.
En 2011, avec un vieil appareil, d’après-guerre, la GOLDY BOX (moyen format), au mécanisme très sommaire, Marilyn Bousquet entreprend de réaliser sur plusieurs années, une série de photographies, en argentique, de tienta a campo abierto (tienta à champ ouvert) avec du bétail de la manade Margé.
La réalisation de ses photographies s’exécute avec la méthode de surimpression sur négatif : sans réarmer la pellicule après la première prise de vue, elle enclenche une deuxième photographie qui viendra s’impressionner sur la précédente. Principe bien connu des photographes, soit par accident ou par volonté, la sur-impression, dans mes photographies, est contrôlée : un travail de mémoire et de projection mentale entre en compte pour établir la composition de ces dernières.
Depuis 2012, un autre appareil photographique (ZENZA BRONICA), plus performant (meilleure optique et contrôle de la composition par la visée), a remplacé la GOLDY BOX.
Cette année à l’espace Taurin de Béziers l’exposition est consacrée au premier maillon de la Corrida, la tienta, plus particulièrement la tienta a campo abierto, sélection des vachettes pour la reproduction de taureau de combat par une batterie d’épreuves dans la nature qui permettent d’évaluer leur résistance, endurance et agressivité.
L’importance du ciel, dans la composition des images quant à elle, instaure un climat de sérénité et de calme, et positionne les scènes dans une temporalité mythologique et cosmologique.
D’avantage tournée vers la peinture, que vers la photographie documentaire, l’enjeu de cette série est bien de magnifier cette première étape et ses acteurs pour marquer l’étrangeté de la tienta a campo abierto pour les non-initiés et sa beauté intemporelle. Le paysage dans cette série, remplace l’arène : l’espace est sans enceinte, le soleil diffuse une lumière de fin d’après-midi chaude. L’horizon naît de la scène et s’ouvre sur le ciel.
– à l’Espace Taurin de Béziers, espace Chapat, av. Wilson, du 4 juillet au 31 août, du mardi au dimanche de 10 à 18 heures, entrée libre.
site de Marilyn Bousquet : http://marilynbousquet.tumblr.com/
CORRIDAS A L’UTB
DEUX RENCONTRES AVEC LES DEUX MATADORS BITERROIS : CAYETANO ORTIZ ET TOMAS CERQUEIRA
1 – REMISE MONTERA : comme il est de tradition maintenant à chaque prise d’alternative d’un torero biterrois, l’Union Taurine Biterroise a remis une montera à Cayetano ORTIZ le VENDREDI 27 JUIN 2014, à l’Espace Taurin de Béziers. Un cocktail clôtura cette manifestation. La Fédération des Clubs Taurins du Biterrois, en accord avec l’Union Taurine, lui a offert une épingle de cravate.
2 – « Les amis de Tomas Cerqueira« organisaient une journée taurine à la manade d’Andre Castella le samedi 28 juin 2014.
10h30 : RDV à la manade,
11h : Toro combattu par Tomas Cerqueira,
12h : apéritif, – Présentation de la tête de toro d’alternative de Tomas – feria de Béziers 2012, 13h : repas : fideua, 15h : Tienta de vaches :
– 1ere, toréée par Tomas,
– 2ème, offerte à Cayetano Ortiz par Tomas,
– 3ème, offerte à l’École Taurine de Béziers par André Castella,
– 4ème, pour les aficionados.
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SAN ISIDRO 2014 À L’UTB
Bienvenue à l’UTB pour la San Isidro 2014. Le club état ouvert à partir de 18h 30 pour vivre en direct les corridas de Madrid.
Avec un dîner le 15 mai à l’occasion de la corrida avec Sébastien CASTELLA.
EXPOSITION à L’UTB : CARTON et FERRAILLE
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Plusieurs dizaines de personnes se sont retrouvées jeudi 3 avril, au Musée taurin de Béziers, pour le vernissage de « deux expositions en une ». Celle de Marie Françoise Pastor dite Stapor et celle de Christophe Adge.
Michel Bousquet président de l’Union Taurine à présenté les deux exposants dans cette allocution :
« Ce soir, c’est le vernissage de l’exposition carton-ferraille. Pourquoi avons-nous choisi ce nom ? Parce que nous exposons des cartons et de la ferraille pardi ! Mais pas n’importe lesquels, bien entendu. Comment est né cette idée et vous verrez que de quelques sottises, parfois sortent des perles rares.
Un jour, pas si éloigné, Marie Françoise Rouzier, notre excellente et si dévouée secrétaire, m’interpelle en me demandant si je connaissais Stapor, je lui ai dit in petto « c’est certainement un petit village basque.
– Que tu es bête me dit-elle, c’est Marie France et elle colle.
Je lui réponds, Il ne faut pas parler d’une de nos sociétaires de cette façon.
– Mais non !! C’est de Marie France Pastor qu’il s’agit c’est son nom d’artiste.
– D’artiste ?
– Oui, c’est l’anagramme de son nom, Pastor et elle fait des collages artistiques, centrés sur la corrida et le monde taurin, elle voudrai les exposer ».
C’est ainsi que l’idée est partie, et nous y voilà maintenant pour admirer les collages de Stapor. Marie France, c’est un personnage en soit. Maitrise d’espagnol en poche, elle devient aficionada grâce à la langue et au séjour linguistique fait en Espagne pendant les vacances. Femme pressée, il y a, en elle du Tatie Danielle, plus pour la tendresse, bien enfermée quand même, que pour la vacherie, si ce n’est de l’arène. Un peu de Forest Gump aussi, quand on la voit arriver et repartir aussi sec. Mais ce qui vous « scotche », et pas qu’une fois, ce sont ses connaissances taurines. Elle vous dira, en voyant une personne sur les tendidos, alors que personne ne l’a reconnue, « c’est le frère de Ramon Esteban, le banderillero de tel Maestro qui a Marcelo Gimenez comme puntillero, etc ». Tout le monde souri, bien sûr, et si il y a quelqu’un ce jour-là, qui connaît le dit Esteban, par un hasard unique d’ailleurs, qui vous dit : elle a raison, c’est lui !. Scotché, vous dis-je.
Si l’aficion se mesure au nombre d’abonos aux corridas, sans conteste elle est championne. Elle en a sept : Béziers, Céret, Arles, Nîmes, Istres, Castellon, Bilbao. Qui dit mieux.
L’artiste enfin. En plus de la couleur et plus particulièrement celle de la corrida que vous découvrirez dans son travail, regardez la minutie de la mise en image. Les détails que vous découvrirez en exerçant votre sens de l’observation, vous feront remarquer les toreros qui ont sa préférence bien sûr, mais c’est toute la corrida qu’elle aime. Enfin, et comme vous l’aurez compris, elle est un peu spéciale, elle vous propose un jeu des questions, présenté avec naïveté et sincérité dans le fil conducteur de ses collages, auquel il vous faudra apporter toute votre attention pour parvenir à répondre.
Pour la remercier, je vous demande d’applaudir chaleureusement STAPOR, Marie France. Pastor.
Maintenait, l’autre artiste ; nous partons dans le dur. J’ai rencontré Christophe Adge, grâce à mon ami Patrick Perez, et ceux qui connaissent Patrick, savent que j’aurai du me méfier. Je me suis dit Adge, viticulteur, artiste, ferronnier d’art qui porte le nom d’un des principaux prêtres, qui pour le Roi Salomon participa à la construction du deuxième Temple, on va être dans le symbolisme, en tout cas pour ceux qui lisent un peu la bible. Bref, je suis donc allé examiner quelques réalisations de Christophe Adge. Et là, j’ai rencontré un homme simple et gentil, qui semblait s’excuser de réaliser des œuvres aussi surprenantes. Il me dit que sa vie, comme les nôtres parfois, n’a pas toujours été facile, mais qu’aujourd’hui grâce à l’amour des siens et de son travail, il peut créer, quand l’envie lui prends de battre le fer.
Je m’attendais, dans l’atelier, mais un atelier, vous voyez, pas un loft bobo avec chalumeau en inox, non ! l’atelier, quoi ; celui du mec qui fait chauffer la forge et bouge les marteaux. Je me suis dit : tu vas voir du lourd et du dur. Et bien pas du tout et vous pourrez le constater. Si la force des œuvre est là, il y a la douceur des courbes et le mouvement qui s‘en dégage avec tellement de présence que cela en est étonnant.
Les chevaux, les aigles et les taureaux, vous permettront d’apprécier les différentes expressions d’un artiste sensible, préoccupé par la nature et ceux qui en font partie. Mais j’y ai aussi vu la transparence du métal qui m’a surpris et interrogé plus que je l’imaginais. Tout cela m’a obligé à voir dans Christophe Adge, autre chose qu’un allumé de la forge et du marteau ; un véritable artiste.
Je vous demande de l’applaudir. »
EXPO « CARTON-FERRAILLE » BÉZIERS – UTB
La tauromachie au service de l’art ou l’art au service de la tauromachie, c’est ce que nous vous proposons de découvrir au travers de l’exposition « Carton-Ferraille » dont le vernissage aura lieu
JEUDI 3 AVRIL 2014 – 19 h
Espace Taurin, Mail Chapat – 1, Avenue Wilson – Béziers
Nos deux artistes, la gran aficionada « STAPOR » nous dévoilera ses collages taurins et ses chapeaux personnalisés alors que Christophe ADGE, Ferronnier d’Art, nous présentera ses sculptures de taureaux, aigles, chevaux, etc.
Nous serions heureux de votre présence lors de ce vernissage qui sera suivi d’un apéritif-pizzas au cours duquel vous pourrez mettre en valeur votre culture taurine, en répondant aux questions judicieusement glissées dans les collages présentés.
Pour des raisons d’organisation, merci de nous faire part de votre participation : uniontaurinebiterroise@gmail.com
FALLAS DE VALENCIA 2014
Les Fallas de Valencia 2014 débutaient le 9mars. Les corridas fûrentt retransmises sur grand écran video-TV à l’UTB :
- Dimanche 9 mars : Toros de Adolfo Martin pour Rafaelillo, Javier Castaño et Fernando Robleño.
- Jeudi 13 mars : Toros de Fuente Ymbro pour Antonio Ferrera, Joselito Adame et Jiménez Fortes.
- Vendredi 14 mars : Toros de Jandilla et Vegahermosa pour El Cid, Manuel Escribano et Ivan Fandiño.
- Samedi 15 mars : Toros de Juan Pedro Domecq pour Finito de Cordoba, Morante de la Puebla et José Maria Manzanares.
- Dimanche 16 mars : Toros de Nuñez del Cuvillo pour Juan José Padilla, El Fandi et Daniel Luque.
- Lundi 17 mars : Toros de Zalduendo pour Sébastien Castella en mano a mano avec Miguel Angel Perera.
- Mardi 18 mars : Toros de Victoriano del Rio et Toros de Cortès pour Enrique Ponce, El Juli et Jesus Duque qui prend l’alternative.
- Mercredi 19 mars : Toros de Garcigrande et Domingo Hernandez pour Enrique Ponce, Morante de la Puebla, El Juli et José Maria Manzanares.
VALDEMORILLO
A l’attention des adhérents,
Apprenant que la feria de VALDEMORILLO serait retransmise à la télévision. Le siège de l’UTB était donc ouvert…
– samedi 8 février avec des toros de Luis ALGARRA pour :
Manuel ESCRIBANO, David MORA, Arturo SALDIVAR
– dimanche 9 février avec des toros d’Ana ROMERO pour :
Javier CASTAÑO, « PAULITA », le vainqueur de la corrida de la veille (Alberto Aguilar étant blessé)
SOIRÉE CRÊPES – FILM « LES ANNÉES ARRUZA »
VENDREDI 21 FÉVRIER 2014 à 19h
Cette « soirée crêpes » commença par le film d’Emilio Maille « les années Arruza » consacré au célèbre matador mexicain Carlos Arruza, « le cyclone qui ravagea l’Espagne » dans les années 40-50 et à son ami le réalisateur américain Budd Boetticher spécialiste du western dont son plus célèbre est « sept hommes à abattre ».
Ruiz Camino Arruza débuta, en novembre 1934, en habit de lumière dans les arènes mexicaine de Vista Alegre (alternative le 1er décembre 1940 en la plaza El Toreo à Mexico). Il fût en juillet 1944 le premier matador mexicain à se produire en Espagne où il vola de succès en succès et confirma son alternative à Madrid. Dominateur à la muleta, il excellait aux banderilles.
Budd Boetticher, dont la passion après le western était la Tauromachie, réussit à convaincre Arruza de participer sans trucage à un film taurin. La réalisation ne fût pas simple… et le film « les années Arruza » montre, à travers des interviews des deux complices, jointes à des images du film de Boetticher, la complexité des rapports entretenus entre les deux hommes – le Gringo et le Mexicano – pour ce qui fût une aventure cinématographique exceptionnelle.
Après avoir quitté les ruedos en 1956, Arruza commença le métier d’acteur de cinéma. Les aficionados-cinéphiles purent le découvrir dans Alamo réalisé par John Wayne, film dans lequel il jouait le rôle d’un lieutenant mexicain.
Un accident de voiture lui couta la vie le 20 mai 1966 alors que la scène finale du film de son ami n’avait pas encore été filmé.
MANUEL ESCRIBANO À L’UTB
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Vendredi 24 janvier 2014, l’UTB recevait au mail Chapat le Maestro Manuel Escribano, triomphateur des Miuras l’an passé à Séville alors qu’il remplaçait El Juli blessé, contraint de lui laisser la place.
Manuel, accompagné de son père et de son apoderado Robert Piles, se prêta, avec comme traducteur Francis Andreu, au jeu des questions-réponses avec sa gentillesse habituelle, . Les sociétaires de l’Union l’ont bien sûr interrogé sur sa carrière, les difficultés rencontrées et sa longue traversée du désert, suivi enfin du succès de Séville…
Il s’exprima aussi sur l’importance de la préparation physique et la nécessité d’être toujours prêt à répondre à l’appel du ruedo. Le rôle de l’entourage fût aussi abordé. La persévérance dans l’Aficion fût ce qui resorti le plus de cet échange avec une salle attentive. Le président de l’UTB Michel Bousquet, se faisant le porte parole de l’assemblée, remercia chaleureusement le Maestro en souhaitant l’applaudir lors de la Feria Biterroise 2014.
La projection de vidéos de Séville, Vic, St Vincent de Tyrosse… agrémenta le débat, suivit d’un apéritif dans le Musée Taurin offert par l’UTB. La soirée se termina avec Manuel Escribano autour d’un copieux buffet.