Indiscutablement, c’est un homme à multiples facettes avec des zones d’ombre et de lumière, agissant dans différentes strates de la société, mundillo taurin et politique, franc-maçonnerie, lanceur de mode, séducteur, grand voyageur devant l’éternel, un cas très rare parmi la confrérie des matadors vous en conviendrez.
On a évoqué l’ombre et la lumière car sa carrière est difficile à appréhender. Il a été beaucoup critiqué et c’est un euphémisme de dire cela. Critiqué comme matador de toros, critiqué comme dandy, familier des salons, critiqué comme politicien, critiqué comme franc-maçon, on n’en sort plus, même ses biographes n’y échappent pas. Et pourtant, il y a la lumière, puissante, aveuglante même, puisqu’on en parle encore, et n’oublions pas un ami de Béziers et des Biterrois.