ESPRIT DU SUD 34 – gastronomie et corrida… même combat !

Lundi soir, 11 juin, au Musée taurin de Béziers, Esprit du Sud 34 organisait une rencontre avec des restaurateurs, traiteurs, cultivateurs, viticulteurs et éleveurs sur la défense de la gastronomie du Sud attaquée par les animalistes et autres vegans pour qui l’animal ne doit pas être touché ou utilisé par l’Homme.

André Daguin, chef étoilé et invité d’honneur, Robert Margé éleveur de bétail Angus et empressa, Benoit d’Abbadie représentant la Mairie de Béziers, Philippe Maury, professeur au CHU de Montpellier, Michel Bousquet président Esprit du Sud 34, ont bien souligné la nécessité de réagir par tous moyens – pacifiques bien entendu – aux attaques contre les traditions du Sud, dont la gastronomie a base de viandes, de poissons fait partie au même titre que la chasse, la pêche, les tauromachies… Marcel Garzelli, un des initiateurs avec André Daguin d’Esprit du Sud du Gers, a donné les pistes pour faire connaître nos actions et rassembler tous ceux pour qui les traditions sont nécessaires pour que le Sud reste le Sud.

La Feria de Béziers – autour de ses musiques, bodegas, arènes… sera une fois de plus un moment de rassemblement festif et traditionnel bien dans l’Esprit du Sud 34, particulièrement le samedi 11 aout, jour qui lui sera consacré.

Une « Charte gourmande » va être diffusée, complémént de la « Charte pour les libertés et la diversité des cultures ».

DÉFENDONS LA GASTRONOMIE !

Les mêmes qui combattent notre Culture taurine s’attaque aussi à la gastronomie en réclamant l’interdiction du foie gras, de la consommation de la viande de toro et autres, de la chasse, de la pêche… Pour défendre notre Culture et nos traditions existent les associations départementales Esprit du Sud dans la partie méridionale de notre pays.

Esprit du Sud 34, outre la défense de la tauromachie, organise le LUNDI 11 JUIN 18h à Béziers, une réunion sur le thème de la défense de la gastronomie pour présenter une Charte gourmande. Face aux vegans et autres liberticides, présentons un  front commun des taurins, chasseurs, pêcheurs, gastronomes…

Au musée taurin, 7 rue Massol

 

 

CHICLANA DE LA FRONTERA – BÉZIERS : LE RETOUR

Samedi 7 avril à midi trente, le président Antoine Martinez et les adhérents de la Peña Emilio Oliva recevaient une delégation importante de la ville espagnole Chiclana de la Frontera, cité jumelée avec Béziers, et aussi ville du matador Emilio Oliva, naturellement présent. Antoine Martinez était heureux de présenter ses invités comme José Manuel Vera Muñoz responsable de la Culture et des festivités de Chiclana invitant les Biterrois à venir à la feria 2018 de sa ville et José Lechuga Meléndez, conseiller municipal. Il en était de même pour les deux matadors Biterrois Tomas Cerqueira en convalescence et Cayetano Ortiz, sans oublier le président de l’École taurine de Béziers, Didier Bresson. Tous les présidents des principaux clubs taurins du Biterrois ou leur représentant avaient tenu à être présents : le CTPR El Mundillo, L’Aficion, l’Union Taurine, le Poulpe de Boujan, le Cercle Taurin, le CTPR Monte blanco, Tendido 7…

Comme le faisait remarquer Benoit d’Abbadie, adjoint au maire de Béziers en charge notamment de la Tauromachie, en s’adressant aux membres de la Peña : «  Il vous faut remercier Christian Coll, président du CTPR El Mundillo, qui sans l’organisation du Gala taurin du 8 avril – hélas reporté au 1er mai par cause de mauvais temps à la date du 8 – n’aurait pas pu se réaliser cette sympathique réunion entre Emilio et l’aficion biterroise…« . En effet le Maestro figurait en haut de l’affiche du Gala.

Profitant de la présence du Maestro, Michel Bousquet, président de l’UTB remettait à Emilio Oliva un cadeau symbolique en souvenir des deux trophée du Tastevins d’Argent attribué au meilleur novillero, remis deux fois de suite, un fait unique – en 1983 puis en 1984.
Et c’est dans une ambiance Andalouse que cette sympathique rencontre a continué, rencontre renouant aussi les liens de jumelage entre ces deux villes taurines.